
Au Togo, s’il y’a un évènement qui a suscité l’émoi des togolais ces derniers jours, c’est bien le crime ignoble dont a été victime la petite Josiane à Léo 2000, un quartier de la ville de Lomé.
En effet, fait inimaginable, son bourreau est incontestablement un pédophile, un prédateur sexuel qui n’a aucun sens de la pudeur. Âgé de huit (08) ans cette dernière insouciante et pleine de vie, s’est vue hôtée son existence. Ce drame datant du 12 juin 2023 continue de susciter de vive indignation au sein de l’opinion publique ainsi que dans classe politique.
Parmi ces derniers y figure le président du Parti Démocratique Panafricain (PDP) Innocent KAGBARA. Pour lui le meurtre de Josiane doit interpeller la conscience collective togolaise. A cet effet, il affirme ce qui suit : « Le PDP, notre formation politique condamne avec rigueur ce crime crapuleux de la défunte Josiane » indique le parti. avant de rappeler qu’«Il existe d’acte répréhensible par la loi dans notre pays et du point de vue de la classification des infractions, ce crime est d’une extrême gravité »

Ainsi, le président national du PDP invite l’Etat à prendre ses responsabilités. « Je demande à l’Etat de prendre sa responsabilité en usant efficacement des moyens de notre politique pénale pour sévir. Le responsable doit être traduit devant la cour d’assise. Je suis convaincu qu’avec les résultats de l’enquête préliminaire diligenter par la justice, nous pourrons obtenir justice pour notre petite Josiane. Qu’elle repose en paix, la république réparera ce qu’elle a subi de plus abject. J’apporte tout mon soutien à la Commission Nationale des Droits de l’homme (CNDH) et aux organisations de la société civile qui veille méticuleusement à ce que justice soit faite » a écrit l’honorable Innocent Kagbara.
Rappelons que l’honorable Innocent KAGBARA prévoit dans son projet de société, un durcissement de la loi contre les crimes. Ce pan de son programme vise expurger la société de toute violence inouïe. L’idéal reste la pacification des rapports sociaux dans notre pays et la protection des mineurs