
Au Togo, le gouvernement sous le leadership du président de la République, Faure Gnassingbé est en guerre contre les maladies non transmissibles (MNT). Dans le cadre de la riposte contre ces pathologies qui sont notamment, Hypertension, diabète, maladies cardiovasculaires, cancers, maladies respiratoires chroniques, souvent silencieuses, mais représentant un défi majeur de la santé publique en raison de leur impact sur la population et le système de santé.
En effet, pour y faire face, le pays de Faure Gnassingbé ne lésine pas sur les moyens. Des infrastructures et des technologies de pointes sont mobilisées. C’est le cas, du Centre international de cancérologie de Lomé (CICL) se trouve à Amadahomé, dans la commune du Golfe 5. Il est l’un des plus équipés dans la sous-région. La mise en place de ce centre répond au besoin de contrer tous les types de cancer.
Ainsi, le centre est spécialisé dans des domaines comme le dépistage et la prévention, l’imagerie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les soins de supports… Le cancer du col de l’utérus est l’une des maladies qui dérangent la gent féminine. Vent debout contre ce cancer, le Togo a choisi de prévenir à travers la sensibilisation et la vaccination. En outre, le virus du papillome humain (VPH) est responsable de ce cancer. La vaccination contre ce virus est ancrée dans la stratégie de prévention.

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Rappelons qu’une campagne de vaccination de masse contre cette maladie a eu lieu en novembre 2023. Elle a ciblé 654 402 filles de 9 à 14 ans.