
Le Togo attache un grand prix aux droits des enfants. Que ce soit leur droit d’aller à l’école, d’être nourris, soignés une fois tombé malade, protégés contre les violences physiques, grandir dans un pays favorable à leur réussite, le Togo ne fait pas dans la demi-mesure.
En effet, après la ratification des instruments internationaux relatifs aux droits de l’enfant, le Togo s’est constamment engagé à promouvoir les droits de cette couche sociale vulnérable à travers l’adoption de plusieurs mécanismes juridiques nationaux. Il s’agit pour les autorités togolaises au devant desquelles le chef de l’État Faure Gnassingbé, de promouvoir et de garantir les droits des enfants dans le pays.
Ainsi, le Togo s’est constamment engagé à promouvoir les droits de cette couche sociale vulnérable à travers l’adoption de plusieurs mécanismes juridiques nationaux notamment, le code de l’enfant a été adopté en 2007 et entré en vigueur pour définir et coordonner la politique nationale de protection de l’enfant, avec pour centre d’intérêt, sa liberté et sa personnalité juridique; l’opérationnalisation de la gratuité des actes de naissance et le renforcement des mécanismes d’adoption, de lutte contre le trafic, le travail et la maltraitance des enfants, la gratuité de l’école au préscolaire et primaire; le délai d’enregistrement des naissances qui passe de 30 à 45 jours, permettant ainsi à tous les enfants de posséder un acte de naissance. Sur décision du président Faure Gnassingbé, les frais d’inscription aux différents examens au primaire et secondaire sont désormais gratuits.

Ces différentes actions des plus hautes autorités du pays permettent de garantir aux enfants une sécurité juridique et sociale, contribuant ainsi à faire d’eux des citoyens accomplis, prêts à assurer la relève. Ces initiatives du chef de l’Etat ont fortement contribué à l’accroissement du taux de scolarisation et d’achèvement.