Au Togo, grâce à la vision éclairée du président du Conseil Faure Essozimna Gnassingbé, la santé n’est plus un luxe réservé à quelques privilégiés. Avec la mise en œuvre progressive mais rapide de l’Assurance maladie universelle (Amu), l’État trace une nouvelle voie, celle d’une prise en charge sanitaire élargie à des milliers de ménages vivant sur le territoire. Ce projet phare, inscrit au cœur de l’action gouvernementale, symbolise une promesse de dignité et de justice sociale.
En effet, l’Amu, à partir de son lancement effectif le 1er janvier 2024, s’est imposée comme un outil majeur pour garantir l’équité dans l’accès aux soins. Il vise à couvrir l’ensemble de la population, indépendamment de la profession, du revenu ou de la zone de résidence. Qu’il s’agisse des fonctionnaires, des travailleurs du secteur privé, des artisans, des commerçants ou encore des agriculteurs, chacun est appelé à bénéficier d’une protection qui lui évite de sombrer dans la précarité face aux aléas de la maladie.
Ainsi, depuis sa mise en marche, l’Amu suscite un élan d’adhésion et de confiance. Pour de nombreuses familles, c’est la fin des dilemmes douloureux entre payer des soins ou nourrir la maisonnée. Les consultations médicales, les hospitalisations, les médicaments essentiels deviennent plus accessibles. Les hommes et les femmes avec leurs enfants sont soulagés par cette couverture aussi financière qui les rend sereins. À travers ce mécanisme illustrant fidèlement la logique de transformation du système sanitaire togolais, l’État sous le leadership du président du Conseil Faure Essozimna Gnassingbé, engage des réformes qui renforcent les infrastructures, améliorent la qualité des services et élargissent le maillage territorial des centres de soins.

Par ailleurs, parallèlement, la digitalisation des procédures de gestion de l’assurance permet de fluidifier l’inscription et de garantir une meilleure traçabilité. À noter qu’au premier trimestre 2025, la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) appelait les bénéficiaires de cartes Amu, au nombre de 12 000 établies, à les retirer pour pouvoir accéder à des prises en charge sanitaires correspondantes.

