
Au Togo, depuis quelques années, le pays sous le leadership éclaté du président de la République Faure Gnassingbé, s’est résolument engagé dans la mise en place des infrastructures de grandes envergures en matière d’énergie électrique. Objectif, assurer son autonomie énergétique à l’horizon 2030.
En effet, constamment préoccupé par le mieux-être des populations togolaises, le président Faure Gnassingbé s’est fixé comme objectif d’atteindre la couverture universelle en énergie électrique d’ici 2030. Et ceci en misant beaucoup plus sur l’énergie renouvelable notamment. Ainsi, les centrales solaires vont jouer un rôle capital et déterminant dans la réalisation de cet noble objectif. Ainsi, il s’agit pour les pouvoirs publics togolais, de satisfaire les besoins et les attentes de la population en matière non seulement d’accès à l’électricité mais surtout l’accès facile à l’électricité.
Des initiatives sont justement prises par le gouvernement sous l’orientation du chef de l’État pour apporter cette satisfaction à la population togolaise. Une grande partie de ces efforts, est concentrée sur les centrales solaires afin de garantir une autonomie en termes d’énergie électrique fiable et à moindre coût à chaque Togolais. L’inauguration en juin 2021 de l’une des plus grandes infrastructures solaires de l’Afrique de l’Ouest, la centrale Cheikh Mohammed Bin Zayed à Blitta en est l’illustration. D’une puissance initiale de 50 MWc, l’ouvrage photovoltaïque de Blitta est constitué de plus de 5 000 plaques solaires. Sa puissance a été portée à 70 MWc. Il doit générer plus de 90 255 MWh par an et desservir 158 333 ménages dont 9% de la demande dans la région.

Notons que de 2021 à ce jour, la centrale solaire de Blitta a déjà fait ses preuves en apportant un ouf de soulagement aux populations en matière d’accès à la source électrique. D’une manière générale, elle a permis d’atteindre une production annuelle de près de 83 000 MWh en 2022 pour une prévision de 82 000 MWh.