
Apparemment, les actes de pédophilie et d’atteinte aux bonnes mœurs ne sont pas seulement que l’apanage des pays occidentaux. Dans l’Eglise famille du Togo, des actes de pédophilie, de mariage officieux de prêtres et autres légèretés sont légion. Parfois exposés sans pudeur au grand public mais souvent cachés. Ils demeurent cependant réels et authentiques.
Plusieurs exemples peuvent être cités, preuves à l’appui. Car des parents ne cessent de se plaindre des assauts de prêtres sur leurs files souvent mineures. Pareil aussi pour certaines femmes victimes qui ne cessent de lancer des cris de détresse face aux exactions sexuelles et viols qu’elles subissent de la part de prêtres tels que l’abbé Charnel Affognon.
Le plus étonnant, c’est le silence complice de la Conférence épiscopale catholique. A aucun moment, elle n’a répondu favorablement aux appels des victimes. A aucun moment des sanctions n’ont été prises contre ces prêtres fautifs. Ils peuvent continuer à violer, tenir des rapports sexuels avec des mineures, se marier, arracher les femmes d’autrui, … les évêques sont là pour les protéger voire les encourager. Et c’est dommage pour l’Eglise !
