
Le Niger, pendant longtemps considéré à tort comme le pays le plus pauvres du monde, est depuis l’arrivée des actuelles autorités, un pays disposant d’un potentiel inestimable. Fort de cela et étant l’un des premiers producteur de l’uranium, essentielle à la construction du nucléaire civil, les autorités n’excluent pas la possibilité de construire une centrale nucléaire. Et ceci avec l’aide de la Fédération de Russie.
En effet, selon le chef de la diplomatie nigérienne, Bakary Yaou Sangaré, cette option est possible et ne dépasse pas les capacités de son pays. Surtout dans la mesure où, le Niger possède déjà son propre institut qui s’occupe de l’énergie nucléaire et dispose également de la principale matière première qu’est l’uranium.
Ainsi, d’après le chef de la diplomatie nigérienne, le processus de construction d’une centrale nucléaire comprend 20 niveaux, et son pays en est quelque part au douzième, ayant déjà passé la partie la plus ardue. Car, le Niger utilise déjà des technologies nucléaires pacifiques en médecine et prévoit de les utiliser en agriculture pour accroître les rendements , a soutenu le ministre.

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Il convient de rappeler que selon le ministre, lors de la dernière visite du chef de l’AIEA dans le pays, il a été très surpris par la compétence des spécialistes nigériens dans l’énergie nucléaire.