
Car en effet, l’assouplissement des conditions de mise en liberté de Gbagbo et de Blé Goudé, permet à ces deux hommes de voyager partout dans les 133 pays membres du protocole de Rome pourtant création de la Cour Pénale Internationale qui souhaitent les recevoir. Donc, ils peuvent revenir au pays en Côte d’Ivoire si seulement les autorités ivoirienne acceptent de les recevoir. Ainsi, il revient désormais au président ivoirien et à la justice ivoirienne de décider d’accepter recevoir sur le sol ivoirien ces s deux hommes. En clair, la CPI, met les africains notamment les ivoiriens en face de leur responsabilité.

En tout cas dans le camp du l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, l’on se dit confiant de ce qui l’ancien président va pouvoir revenir. Il compte travailler avec les autorités du pays dans ce sens « On se faisait une immense joie qu’il puisse aller et venir là où il est et puis jusqu’à ce qu’il rentre chez nous. Ce que nous attendons, c’est son retour, nous espérons toujours. On va aviser cela avec les autorités, elles seront approchées par les canaux officiels » a indiqué Laurent Akoun, le vice-président du FPI pro-Gbagbo. Les regards restent donc tournés vers les autorités ivoiriennes quant à la suite qu’ils à cette décision. Elles n’ont pas encore officiellement réagi