
Au Togo, l’amélioration du climat des affaires reste l’une des priorités des dirigeants du pays depuis bientôt une dizaine d’années. Et pour se faire, toute une batterie de réformes sont engagées afin d’attirer les investisseurs étrangers avec le pays.
Aujourd’hui, ces réformes font du pays de Faure Gnassingbé, l’un des premiers pays réformateur du monde. En effet, le Togo continue sur sa bonne dynamique en matière de réforme pour l’amélioration du climat des affaires. Ceci est sans cesse reconnu à travers le monde à les différents classements rendus publics ces dernières années. C’est ainsi que selon nos confrères de républiquetogolaise, le Togo vient encore une fois de s’illustrer comme un des meilleurs réformateurs africains dans le rapport 2020 du Baromètre du Conseil des investisseurs français en Afrique (CIAN) publié ce 18 mars 2021.
D’après notre confrère, ce classement a été rendu public à l’issue du Forum Afrique du CIAN 2021 tenu en viséoconférence jeudi dernier. Farum au cours duquel le Togo a activement participé à travers Mme Sandra Ablamba Johnson, Ministre, Secrétaire générale de la Présidence de la République, et coordonnateur de la Cellule du climat des affaires (CCA). Ainsi, selon le rapport du baromètre de CIAN, sur 31 pays cibles, seuls 16 ont pu réaliser un score supérieur à la moyenne fixée à 2,5 points. Le Togo s’est illustré avec un score de 2,8 points et se classe « parmi le Top 6 des économies africaines ayant offert en 2020 des meilleurs cadres incitatifs à l’investissement privé, en dépit des impacts négatifs de la pandémie à la COVID-19 sur la politique nationale de développement.» indiquent nos confrères de républiquetogolaise. Dans ce rapport, le Togo se classe au premier rang dans la sous-région ouest africaine, une place qu’il partage avec ses voisins du Bénin et du Ghana, et se positionne au 6è rang continental.

Il convient de rappeler que le baromètre CIAN a évalué les pays sur plusieurs critères de performances notamment les infrastructures, l’administration, l’économie, les finances, le social, les facteurs de production et le développement durable.