Au Burkina Faso, l’étau terroriste qui étranglait la zone de Diapaga dans la région de l’Est a été brisé par les forces combattantes burkinabè le samedi 14 juin 2025. Ceci, lors d’une offensive d’une intensité remarquable. Les unités engagées ont infligé une défaite cinglante aux groupes armés terroristes qui semaient la terreur et l’anarchie dans cette partie du pays.
En effet, selon de nombreuses sources locales, l’assaut a été lancé dans la journée du samedi 14 juin. Face à la détermination et à la puissance de feu des FDS et VDP, les terroristes ont été littéralement balayés. Paniqués, ils ont fui en désordre, abandonnant des motos, du matériel logistique et même des positions stratégiques. Ceux qui ont tenté de résister ont été neutralisés sur place, certains pourchassés jusque dans leurs derniers retranchements et massacrés comme des malpropres.
Ainsi, ce revers infligé aux forces du mal marque un tournant majeur dans la lutte contre le terrorisme dans la région de l’Est. Il est aussi une réponse claire et musclée à toutes les tentatives de déstabilisation. La zone de Diapaga, longtemps martyrisée, respire à nouveau. Les populations, jusque-là otages d’un climat d’insécurité permanent, retrouvent progressivement la paix, la liberté de circulation et l’espoir d’un lendemain meilleur. La population locale n’a pas tardé à manifester sa gratitude envers les forces combattantes. Des scènes de liesse ont été observées dans plusieurs localités environnantes. Pour de nombreux habitants, cette victoire est le symbole d’un retour à la dignité, à la souveraineté et à la lumière après de longs mois d’obscurité imposée par les extrémistes.
Par ailleurs, dans un contexte où l’ensemble du pays est engagé dans une lutte de survie et de reconquête, cette opération victorieuse vient renforcer la dynamique enclenchée par le capitaine président Ibrahim Traoré et ses hommes , avec l’appui sans faille des Volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP). La guerre contre le terrorisme n’est pas totalement finie, mais des avancées décisives comme celle de Diapaga témoignent que le Burkina Faso tient bon, se relève, et reprend le contrôle de son destin.
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Il convient de rappeler que, le Burkina Faso sous le leadership du capitaine Traoré, a repris lu poil de la bête avec la reprise d’une bonne partie de son territoire des mains des groupes armés terroristes. La peur a depuis changé de camp.
