
Au Burkina Faso,Cheikh Moaze et sa Fondation résolument engagés dans la recherche de la paix et la cohésion sociale, continuent de mobiliser différents acteurs autour de l’idéal de paix et de la cohésion sociale. C’est dans ce cadre qu’une grande rencontre initiée par la fondation Cheikh Moaze a réuni le 19 Septembre dernier à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, plusieurs milliers de leaders d’opinion et religieux.
En effet, que ce soit dans son pays le Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, au Togo… ou encore au-delà des frontières du continent, Cheikh Moaze et sa fondation, sont connus comme des mendiants de la paix et la cohésion sociale. Il, Cheikh Moaze, ne cesse de prendre son bâton de pèlerin pour aller prêcher la paix, la cohésion sociale, la tolérance religieuse. Ce week-end, il, le mendiant de paix et du vivre ensemble, était encore au-devant de la scène, au cours conférence sur la cohésion sociale. Ainsi, le Président de la Communauté Soufi du Faso et du Monde, Cheikh Moaze, à travers cette conférence qui se situe dans le cadre des festivités marquant la journée internationale de la paix, rêve d’un nouveau citoyen dans pays, le Burkina Faso. Ce nouveau citoyen, sera celui qui respecte l’autorité et qui œuvre pour la cohésion sociale et la paix. Pour le grand Guide Spirituel des Soufi, cette conférence se justifie par le contexte particulier dans lequel le Burkina Faso se trouve aujourd’hui où la population se trouve désorientée et livrée à toutes de tentations notamment, les promesses mirobolantes des jihadistes, un conteste marqué par le manque de respect de toutes les autorités (coutumière, politique, religieuse).
D’après lui, si l’on laisse cette situation perdurer, il s’agit d’un grave échec de tous les leaders sans distinction aucune. Pour mettre fin à cette situation, Cheik Moaze dans son exposé au cours de cette conférence, estime que « La cohésion sociale ne peut pas être possible sans le respect de l’autre. Il argumente cela avec le noble comportement du prophète MOUHAMED à savoir l’ouverture du prophète vers son prochain, sa bienveillance, le respect de son voisin et son prochain. Pour évoluer il faut respecter non seulement les parents mais aussi les autorités. » a-t-il indiqué avant de rappeler que manquer de respect à son autorité, c’est non seulement s’insulter soi-même mais aussi insulter sa communauté et son pays entier. Il invite tous les burkinabé à se donner la main « j’invite tout le monde à se donner la main pour un Burkina harmonieux et gagnant » a-t-il émis le vœux.

Rappelons que Cheikh Moaze, guide de la communauté Communauté Soufi du Faso, a déjà parcouru plusieurs pays du monde pour y quémander la paix, la tolérance religieuse et la cohésion entre peuples.