
A deux mois de la présidentielle du 24 février 2019 au Sénégal, les nerfs sont trop tendus au Sénégal. Compte tenu de tout cela, les organisations de la société civile ont lancé un appel au calme pour une meilleure contribution du processus d’élaboration.
« Partant de l’analyse du contexte économique et social de notre pays, nous devrons davantage travailler à mieux contribuer aux efforts de développement économique du pays. Nous avons une société civile assez diversifiant confrontée à une situation pas du tout facile » a dit Amacodou Diouf le président du conseil d’administration du Congad. Selon lui, la société civile est assez diversifiée et confrontée à une situation pas du tout facile. « C’est le lieu de lancer un appel fort à l’endroit du secteur privé national pour une synergie de la réflexion stratégique pour le devenir du Sénégal » ajoute t-il. Toutefois, tient-il, à préciser, la société civile a un droit de regard sur l’action politique ; « elle a le droit de se prononcer sur l’action politique ». Pour le président du conseil d’administration du ConGAD, toute initiative sénégalaise qui permet à ce que nous procédions à des élections transparentes, libres et démocratiques, nous l’appuyons » poursuit-il.
